C’est une véritable une institution. Les propriétaires successifs, d’origine italienne et glaciers de profession, ont fait du café un « établissement de luxe ouvert à tous ».
On pourrait se croire à Buenos Aires ou dans le Paris de la Belle Epoque, car l’atmosphère d’un autre temps a été soigneusement reproduite avec les tomettes vieillies, les boiseries et les menus gravés. Le bar en marbre vert, pour un thé et une petite douceur, jouxte le comptoir à onigiri, délicieux en-cas japonais à base de riz. On a le choix et on adore.
Ne repartez surtout pas sans une création de Miyoko, une fleuriste spécialisée dans les fleurs séchées. De quoi ravir votre intérieur en plus de votre palais.
Carte : environ 5 €.
