Il est des gens ou des endroits que les épreuves n’épargnent pas. Mais plutôt que de les abattre, elle les rend plus forts. Fréquenté par les plus grands de ce monde avant la guerre, les flammes ont ravagé le Palace en 45. En 97, le jour de gloire arrive enfin et l’hôtel ouvre de nouveau ses portes, reconstruit à l’identique par le groupe Kempinski. Le mythe berlinois revient alors, plus fort et plus beau que jamais. Une grande adresse de caractère, à découvrir en attendant dans la dernière intrigue de Philippe Kerr qui en porte d’ailleurs le nom. Tout un univers.
Chambre : à partir de 578 €.