Bien sûr à Courchevel, il y a le Tremplin, restaurant sur le front de neige qui magnifie les produits et séduit les skieurs fortunés de la station. Le chef Yannick Alléno est également sur ce créneau-là au 1947, le restaurant du Cheval Blanc de Courchevel, seul trois étoiles de la station ; en ajoutant gestes techniques et maîtrise parfaite du feu et des cuissons.
Cela donne des plats très poétique. On a adoré le feuille à feuille d’épinard et de navet à l’aigre doux en composition simple ; tout comme la délicate royale d’un bouillon japonais œufs de brochet et extraction de jambon cru.
Le spectacle d’un écuyer trancheur
Pour continuer, on se partage les langoustines en carpaccio, crème citronnée et toasts dorés. Le spectacle de votre pièce de bœuf se fait en salle comme dans l’assiette grâce au gril alpin ; et surtout grâce à la présence d’un écuyer trancheur, spécialiste de la découpe des pièces de viande. Le tout accompagnée de purée à la truffe s’il vous plaît.
Pour finir, on commandera une crêpe soufflée au chocolat grand cru du Pérou. Cocooné près du bar ou en terrasse lorsque le soleil de février tape fort, on profitera avec plaisir d’une cuisine variée d’une extrême gourmandise ; de la pizza au feu de bois jusqu’aux desserts en « cocotte gourmande ».
Carte : environ 350 euros
Crédit photo de Une : Andrey Zouari