Rencontre d’Arles La Movida, retour sur une révolution

Au début des années 80, l’Espagne sort du joug franquiste en faisant la fête et en créant tous azimuts. Quatre photographes, témoins majeurs de cette période, exposent leurs archives en Arles.

Photo d’ouverture : Miguel Trillo, El Calderón, Concert des Rolling Stones. Madrid, 1982. Avec l’aimable autorisation de l’artiste et de VEGAP.

 

 

Jean-Pierre Saccani

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Madrid, début des années 80. Franco est mort depuis quelques années et l’Espagne a soif de démocratie. Ailleurs en Europe, en Angleterre notamment, la new wave et le mouvement punk choquent le bourgeois. Un phénomène qui fascine naturellement les jeunes Madrilènes. Cette nouvelle génération va faire sa révolution en investissant la musique, la mode, la photographie, le théâtre et surtout le cinéma… La Movida est née. Pour célébrer leur
50e anniversaire, les Rencontres de la photographie d’Arles rendent un hommage mérité à ce mouvement devenu une référence pour l’Espagne toute entière et, plus généralement, pour les hédonistes de la planète. Barcelone, par exemple, ne serait pas Barcelone sans la Movida…

Expo « La Movida : chronique d’une agitation, 1978-1988 », palais de l’Archevêché du 1er juillet au 22 septembre 2019, de 10h00 à 19h30. Programme complet des Rencontres de la photographie d’Arles : rencontres-arles.com

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Autres expos à ne pas manquer aux Rencontres d’Arles…

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Helen Levitt, observatrice des rues new-yorkaises, à l’Espace Van Gogh.

Helen Levitt, New York, 1980. Collection privée. Film Documents LLC, avec l’aimable autorisation de Thomas Zander Gallery, Cologne.

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Home Sweet Home, 1970-2018 : la maison britannique, une histoire politique, à la Maison des Peintres.

Sirkka-Liisa Konttinen, Nancy-Jade, série Byker Revisited [Retour à Byker], 2005. Avec l’aimable autorisation de Amber/ L. Parker Stephenson Photographs.

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Hanako Murakami, conception, à l’Espace Ground Control.

Hanako Murakami, The Immaculate #D1. Avec l’aimable autorisation de Taka Ishii Gallery.

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Clergue & Weston, première expo, premières œuvres, à la Croisière.

Lucien Clergue, Mannequins du chiffonnier, Arles, 1956. Avec l’aimable autorisation de l’Atelier Lucien Clergue.

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