[vc_row][vc_column][vc_column_text]Elle ne mâche jamais ses mots : « Une fille qui veut faire ça juste pour être connue, ça ne marche pas. Être influenceuse, ce n’est pas de la téléréalité. Ça demande de la rigueur, de l’organisation et, surtout, de l’intégrité et de l’indépendance. » Loulou de Saison, c’est ça. Un franc-parler, beaucoup de travail et un don inouï pour faire « s’exprimer » le vêtement en gardant une ligne éditoriale très personnelle. Vous l’aurez aperçue sur les pages de Vogue éditions France, Italie ou Grande-Bretagne. Ou dans les rues parisiennes. Elle revient du Danemark, où elle est allée rencontrer les créateurs d’un jeune label. Un mois plus tôt, elle était à Milan et, encore avant, c’était les défilés, les collections présentées dans les show-rooms… Loulou de Saison est partout.
Pour les adeptes des réseaux sociaux, elle est d’abord un look racé et puriste qui a séduit plus de 104K followers et autant de marques de luxe comme Loewe, Chanel, Burberry. Mais c’est aussi un ton incisif, des mots pleins d’esprit qui accompagnent les clichés de ses tenues : « Eat your (oversize) vegetables », « Before coffee situation », « Because snake and apple are an old story ». Et puis, c’est une voix percutante face aux idées reçues : « Je ne suis pas une femme-sandwich » prête à arborer une ribambelle de griffes moyennant un sympathique cachet.
Loulou de Saison a beau être une jolie brindille, elle ne ploie pas devant les sirènes fashion. C’est justement pour s’émanciper des règles imposées du milieu (interdiction de mélanger certaines marques annonceurs) que cette ancienne styliste et consultante en mode a décidé de tracer sa propre route, plus digitale en 2015. « J’ai choisi de proposer des looks plus naturels et moins marchandisés que ceux des magazines. À l’époque, il y avait peu de filles, hormis les it-girls très branchées, qui incarnaient la Parisienne. »
Dès sa première Fashion Week, Loulou de Saison accroche les regards des photographes de street style. De fil en aiguille, des marques prestigieuses la contactent et voilà que cette mère de deux enfants parcourt les FW européennes et les rues de la capitale, en tenue pointue. « Mon style est une juste balance entre des marques fidèles et d’autres que j’ai envie de faire découvrir, comme Awake, Albus Lumen », explique-t-elle avant de préciser : « Ne pas se sentir déguisée, c’est essentiel. Si tout est digital dans mon métier, mes choix, eux, fonctionnent de façon organique. »
Chloé ne trompe pas et personne ne s’y trompe : « Ma communauté rassemble plutôt des femmes actives, qui s’assument et qui correspondent à mon univers – parisien, moderne et racé. Je ne suis pas millénial ! » confie-t-elle en riant. La suite ? Une collection de cachemire très timeless et réconfortante, dévoilée en ligne en janvier et baptisée « Loulou Studio ».[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_empty_space height= »50px »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column]

