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Un jeu concours sur les réseaux sociaux pour remporter un magnum de Ducru Beaucaillou, des afterworks organisés au Château Pape Clément via Facebook, une photo d’actrices visitant le domaine Smith Haut Lafitte, tout est bon pour faire réagir la communauté sur Internet.
Dans le vin aussi, la visibilité sur le numérique est un enjeu très actuel. L’analyse MyBalthazar-Transversal établit le top cent des Châteaux bordelais les plus importants sur le Web. Ces nouveaux canaux, hors des médias traditionnels, permettent à des châteaux non classés de se positionner parmi les domaines viticoles les plus performants, comme le Château de Reignac (6e) et Fleur Cardinale (12e).
À la recherche du like
Côté Premiers Grands Crus Classés, ils boudent généralement les réseaux sociaux : aucun d’entre eux ne fait partie du top cent sur l’impact Facebook. On les retrouve plutôt dans le classement de l’impact sur la presse en ligne et celui sur Vivino, où ils sont largement dominateurs.
En tant que réseau social numéro un, Facebook est aussi privilégié par les châteaux, tout comme Instagram. Mais il ne suffit plus d’avoir un grand nombre d’abonnés pour une e-réputation de qualité. Likes, partages, commentaires… L’interaction des internautes est tout aussi importante. Le Château Smith Haut Lafitte, numéro un sur l’impact numérique et présent sur tous les podiums liés aux réseaux sociaux, n’a pourtant pas le plus d’abonnés. Sa stratégie gagnante ? Miser sur une communauté très active.
Une analyse de dix millions de données
Cette étude de l’e-réputation de 544 châteaux bordelais a été menée du 1eroctobre au 31 décembre 2017. Six sources – pour dix millions de données – ont été scrutées pour établir le classement : les trois réseaux sociaux majoritaires que sont Facebook, Twitter et Instagram, la plateforme de vidéos YouTube, les titres de presse en ligne (dont les blogs et les sites spécialisés) et Vivino, réseau social dédié au vin.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]